Événements
[Chaire ACP] Le labex, la Fondation UPN et le Ministère de la Culture pour la sauvegarde du patrimoine du Moyen-Orient
Heure locale
- Fuseau horaire : America/New_York
- Date : 24 Mar 2016
- Heure : 3h00 - 13h00
Le LABEX : les passés dans le présent et la Fondation Université Paris Nanterre partenaires du Ministère de la Culture pour la sauvegarde du patrimoine du Moyen-Orient
Face aux menaces pesant sur le patrimoine du Proche-Orient, le ministère de la Culture a souhaité diffuser la connaissance de ces sites universels. L’objectif est de donner à voir et à comprendre ce que furent les civilisations et les sites aujourd’hui menacés. Dans le cadre de ce projet, la Fondation de l’Université Paris Nanterre et le Ministère de la Culture ont signé une convention d’objectifs et de financement pour la mise en oeuvre du programme d’action “Sites, monuments et patrimoines du Proche-Orient ancien” du labex Les passés dans le présent.
Le ministère de la Culture, alors que le patrimoine du Proche- Orient était et reste confronté à de terribles destructions, a souhaité sensibiliser et faire connaître au plus grand nombre ce patrimoine universel d’exception, berceau de l’humanité. C’est pourquoi, il a créé au sein de sa collection numérique de référence « Grands sites archéologiques », portée par le musée d’Archéologie nationale, un volet patrimoineprocheorient.fr qui permet de découvrir ce que furent ces lieux aujourd’hui attaqués ou inaccessibles.
Le labex Les passés dans le présent participe activement au projet au titre de son programme “Sites, monuments et patrimoines du Proche-Orient ancien”.
Les projets concernés sont les suivants :
► Projet « Monuments d’Orient », portant sur l’exploitation de la documentation et la modélisation 3D de plusieurs sites et monuments majeurs du Proche-Orient antique, dont « le Massif Rouge » de Mari, le Grand Palais Royal de Mari et le site de Tell Feres dès 2016 ;
► Projet « Nimrod, bibliothèques de l’Antiquité », portant notamment sur la reconstitution de l’Ezida, temple du dieu des scribes Nabû ;
► Projet « Objets du patrimoine Mésopotamien », portant notamment sur la numérisation, l’éditorialisation et la mise en contexte de plusieurs objets en 2D et en 3D, en vue de leur diffusion en ligne.
Des contenus accessibles à tous, présentés par les plus grands spécialistes
La France est historiquement très impliquée dans les recherches archéologiques au Proche-Orient. Ce projet témoigne de l’engagement des chercheurs français dans l’étude des sites et des monuments du Proche-Orient (Khorsabad, Palmyre, la Mosquée des Omeyyades de Damas, le Crac des Chevaliers…). Il a été imaginé sous forme de parcours numériques conçus par les plus grands spécialistes. Images d’ archives, vues aériennes, reconstitutions 3D, frises, portraits de pionniers de l’archéologie, entretiens avec les spécialistes… Autant de ressources que le site propose d’explorer et de replacer dans leur contexte, grâce aux cartes interactives et aux fiches synthétiques sur chacun des sites et monuments.
Légendes photos : Toutes les photos proviennent du site http://archeologie.culture.fr/mari et sont diffusées sous la licence Creative Commons BY-NC-ND : attribution + pas d’utilisation commerciale + pas de modification
En haut à gauche : Dégagement de la tête de la déesse aux eaux jaillissantes M.1100, 18 février 1936 Mission archéologique de Mari. Archives A. Parrot
Au centre, à droite : La rue orientale du quartier L (Ville I), encore incomplètement dégagée (au premier plan). Son tracé sera repris à la période suivante (Ville II) avec un léger décalage vers l’Est. Remarquer le comblement noir de détritus de métallurgie. Fouilles J.-C. Margueron, responsables de chantier B. Muller, P. Butterlin, 2003.
Mission archéologique de Mari, cl. Dominique Beyer 2003
En bas, à gauche : Résidence au Nord du Bastion sud. Bâtiment de la période amorrite. Chantier N-3. Artefact. Mission archéologique de Mari. P. Butterlin
Partenaires :• Ministère de la Culture
• Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères et la Commission des Fouilles
• Maison Archéologie & Ethnologie, René-Ginouvès
• Maison de l’Orient et de la Méditerranée
• UMR 7041 Archéologies et Sciences de l’Antiquité (ArScAn), CNRS, Univ. Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Univ. Paris Nanterre
• Labex Les passés dans le présent, ANR-11-LABX-0026-01
• Fondation de l’université Paris Nanterre
• Musée du Louvre
• Commeon
• Iconem
Photo courverture par Jeremy Bezanger
Organisateur
-
Fondation Université Paris Nanterre
Heure locale
- Fuseau horaire : America/New_York
- Date : 23 Sep 2016 - 20 Jan 2017
- Heure : 4h00 - 6h00
Dans le cadre du mécénat de la Terra Foundation for American Art, un séminaire sur l’histoire de l’art américain aux XIXe et XXe siècles se déroulera tous les vendredi de 10h à 12h dans les locaux de la Terra Foundation for American Art, à Paris.
Date(s) : tous les Vendredi 10h-12h
Lieu(x) : Terra Foundation for American Art
121 rue de Lille
75007 Paris
Grâce au mécénat de la Terra Foundation for American Art et à l’initiative de la Fondation partenariale de l’université de Nanterre (Chaire Culture et Patrimoine), l’Université Paris Nanterre et l’Université Paris 7 Denis Diderot proposent conjointement en 2016-2017 un séminaire sur l’histoire de l’art américain aux XIXe et XXe siècles, dispensé en anglais. Le séminaire est ouvert aux étudiants en master et doctorat des établissements français intéressés par les études artistiques américaines ou anglo-saxonnes ou spécialistes de ces disciplines, mais requiert l’assiduité.
Hélène VALANCE, lauréate de cette bourse et maître de conférences à l’université de Franche-Comté, assurera au premier semestre 2016-2017 ce séminaire d’histoire de l’art américain au XXe siècle, sur le site de la Terra Foundation for American Art (121, rue de Lille, 75007 Paris, salle de séminaire). Le séminaire proposé dans le cadre du master en première et deuxième année peut également être validé par les doctorants de l’ED 395.
Le séminaire se déroulera chaque semaine à partir du vendredi 23 septembre de 10h à 12h.
Descriptif de l’enseignement: American Realist Painting :
This seminar will consider the multiple aspects of American realist painting, from the second half of the 19th century to the contemporary period. Artists considered here will include Winslow Homer, Thomas Eakins, the Ashcan school painters, Edward Hopper, Andrew Wyeth and the Photorealists. We will question the changing definitions of “realism” in the discourse of artists and their critics, exploring the links between the artworks and their political, social, technological, scientific, and literary context: what is “real” in 1870, 1915, or 1970? What contributes to the definition of “realism” and “reality” in various moments of American history? How do artists participate in this shared vision of reality, and in what ways do they offer an innovative, sometimes discordant understanding of realism? Studying artworks in their historical context will also lead us to examine the question of the “Americanness” of realism by drawing comparisons with the European, and especially French, brands of realism.
Les séminaires seront donnés en langue anglaise et ouverts à tous. Les validations se font en langue anglaise.
Information générale: information@terraamericanart.eu
Information sur les bourses: grants@terraamericanart.org
Organisateur
-
Fondation Université Paris Nanterre
Heure locale
- Fuseau horaire : America/New_York
- Date : 18 - 23 Juin 2018
Lieu
- Université Paris Nanterre
La XVIe École de printemps d’histoire de l’art organisée par le Réseau international de formation en histoire de l’art se déroulera à l’université Paris Nanterre du 18 au 23 juin 2018, sur le thème « Art et politique », en écho aux cinquante ans de Mai 68.
Cet événement d’une semaine permettra aux étudiants en master, doctorants et post-doctorants d’origines disciplinaires diverses, issus des institutions partenaires, d’échanger sur leurs travaux, de partager leurs recherches, de nouer des contacts avec des chercheuses et chercheurs, jeunes ou confirmés. Pour la France, l’INHA permet à des candidats issus d’établissements extérieurs au réseau de proposer leur candidature. Ils obtiendront à l’issue de la semaine un complément de diplôme de la formation internationale en histoire de l’art. Le site internet www.proartibus.net comprend les programmes des précédentes écoles de printemps. Nous recommandons aux candidates et aux candidats inscrits en master, doctorat ou en post-doctorat de proposer des communications précises, en rapport avec leurs sujets de recherche quelle que soit la période de l’histoire de l’art et le domaine qu’elles ou ils étudient et quelles que soient les formes d’expression qu’elles ou ils souhaitent aborder.
Le thème : Art et politique
L’étude des rapports entre art et politique est toujours peu ou prou marquée du soupçon du fonctionnalisme. Evoquer la « fonction politique de l’art », serait en réduire la portée esthétique, sacrifier la forme sur l’autel d’un principe extérieur, plaquer sur l’œuvre une vision instrumentale. La notion de « propagande », abondamment utilisée par les historiens, est emblématique de cette réduction du visuel au message qu’impose l’insertion de l’art dans la cadence de l’histoire politique. Ce que le politique fait à l’art est alors envisagé comme une perte – de l’esthétique, de la forme, de l’autonomie de l’art. Tout se passe comme si se rejouaient ici les anciennes querelles qui entouraient jadis la réflexion sur la « destination sociale » de l’art ; comme s’il fallait aussi maintenir la possibilité pour l’art d’être le dernier refuge de la liberté.
De récents travaux font néanmoins apparaître un nouveau type de convergence entre l’histoire et l’histoire de l’art, qui nous amène à repenser les termes de la réflexion. D’un côté, les historiennes et historiens du fait politique semblent renouer avec une démarche nourrie dès ses origines par l’anthropologie, pour qui les symboles ont des conséquences sur le monde réel. Les rituels politiques, emblèmes, cultures visuelles ou artistiques contribuent au fait politique non comme simple reflet ou expression du déroulement historique, mais en tant qu’ils sont pris dans une chaîne événementielle complexe. Pour ces historiennes et historiens, la vie et la puissance des symboles se mesurent aux bouleversements qu’ils produisent dans le monde social. D’autre part, en écho à cette histoire, répond, dans la discipline de l’histoire de l’art, du théâtre, de la photographie et du cinéma, un intérêt renouvelé, rafraîchi pour une tradition qu’on croyait révolue, l’histoire sociale de l’art, attachée à ancrer la production artistique comme les discours sur l’art et l’historiographie dans les mouvements politiques et sociaux. Au croisement de ces deux trajectoires se pose une question : celle de l’art comme mode d’intervention politique.
Si l’on définit le politique comme le lieu de l’expression des dissensions, des désaccords, comme le moment où se rencontrent des positions contraires, alors il est possible de sortir d’une vision intentionnaliste selon laquelle l’art serait l’affirmation symbolique d’un pouvoir, d’une souveraineté, d’un message politique ; de comprendre comment l’art agit sur les frontières, les zones de frottement, les moments conflictuels, comment il partage et départage la chose publique. Il s’agit en somme de renverser la position pour s’interroger sur ce que l’art fait au politique. Quelles transformations l’art produit-il sur les institutions, les groupes, les partis, les classes sociales ? Plusieurs domaines ou approches seront envisagés :
1. La production et la diffusion des signes et couleurs des identités politiques. Images et symboles définissent les groupes, tracent des frontières politiques, garantissent la cohésion des positions. Or le visuel produit dans ce domaine des effets que le langage ne peut atteindre : la superposition des significations, les contractions temporelles, l’ambiguïté des symboles et des formules d’émotion donnent à l’iconographie politique et aux identités visuelles un rôle spécifique dans la traduction et la diffusion des positions politiques et sociales.
2. Les régimes de visibilité déterminent l’accès de personnes, groupes ou institutions à une représentation et une reconnaissance. L’invisibilisation de groupes, qu’ils soient minoritaires ou majoritaires, fait partie des moyens de la domination, de sorte que la lutte pour la reconnaissance, qui appartient aux formes les plus répandues des luttes sociales, passe par l’accès des dominés à la visibilité. L’art, comme l’écriture de l’histoire de l’art, est un des modes d’expression de ces luttes par lesquelles peut être renversé l’équilibre de la visibilité.
3. Par le terme d’ « acte d’image », des travaux récents d’histoire de l’art et d’anthropologie définissent l’action que les images produisent sur le monde social. Cette notion décrit plus précisément la transmission d’un pouvoir ou d’une « agentivité » à l’image, processus au cours duquel, une personne ou un collectif donne pouvoir à cet objet d’agir à sa place, ou, inversement de recevoir une action destinée à frapper celle, celui ou ceux qu’il représente. Il en va ainsi des formules d’émotion par lesquelles le spectateur se trouve contraint d’agir. Les portraits ou caricatures frappant d’infamie les personnes qu’elles représentent en font partie également. Enfin les actes iconoclastes appartiennent à ces actes d’images, actes touchant des images pour viser des communautés.
4. Les déplacements géographiques et sociaux des lieux de pouvoir mettent fréquemment en scène la production du symbolique. Aussi les géographies artistiques rencontrent ou se confrontent avec les espaces de pouvoir. L’étude de ces déplacements, comme de la mise en œuvre, diverse selon les époques, de l’expression sensible des dominations ou des oppositions politiques, doit permettre de s’interroger sur le rôle de l’art dans ces reconfigurations historiques ; sur la question des lieux d’expression visuelle, sonore ou corporelle du pouvoir ; sur les enjeux sociaux, politiques, éthiques et esthétiques du partage du sensible ; sur la traduction, au plan artistique, de conflits politiques et territoriaux, de combats menés en temps de paix pour la définition des territoires, des frontières, comme la dénomination des espaces géographiques.
Ces quatre modalités de l’intervention de l’art en politique nous aideront à sortir du paradigme de la « propagande politique » pour contribuer aux développements les plus récents de l’histoire des arts, de l’histoire politique et de l’anthropologie.
Procédure de candidature
L’appel à communications est mis en ligne sur les sites internet du Réseau international (www.proartibus.net), de l’Université Paris Nanterre (http://www.parisnanterre.fr) et de sa fondation (http://fondation.parisnanterre.fr), de l’École normale supérieure de Paris (www.ens.fr) et de l’INHA (https://www.inha.fr) pour les autres partenaires français ainsi que sur ceux des autres établissements membres du Réseau international. Les doctorants et post-doctorants souhaitant participer sont priés de soumettre un projet de communication de 15 minutes, accompagné d’un court CV. Les propositions ne doivent pas faire plus de 1800 caractères, ou 300 mots, et peuvent être rédigées en allemand, en anglais, en français ou en italien. Elles doivent être soumises en format Word, et doivent comporter le nom de la candidate ou du candidat, ses adresses (électronique et postale), l’établissement et le pays dont elle ou il dépend. La proposition et le CV doivent être joints en un seul document dans un courriel (nom de fichier : Proposition_Prénom_Nom abrégé de l’institution, exemple : Proposition_Louis_Marin_Univ-Paris-Nanterre). La ligne « sujet » doit préciser le nom du candidat et le pays dans lequel il est inscrit. Les courriels sont à adresser à edp2018parisnanterre@gmail.com avant le 16 février 2018.
Les propositions seront rassemblées par les organisateurs mentionnés ci-dessous, puis examinées et sélectionnées par pays. Les organisateurs établiront, en coordination avec des représentants de chaque pays du Réseau international, un programme définitif.
L’annonce de la sélection des participants sera diffusée au début du mois de mars 2018.
Nota bene : dans les deux semaines suivant l’acceptation de leur proposition, les participants devront en soumettre une traduction dans une autre des langues officielles du Réseau international (allemand, anglais, français, italien). Un mois avant le début de l’Ecole, ils devront en outre envoyer aux organisateurs le texte complet de leur communication, ainsi que leur présentation Powerpoint. Étant donné que les participants font leur communication dans leur langue maternelle, la maîtrise des autres langues est indispensable. Les participants des pays latins doivent maîtriser au moins d’une façon passive l’anglais ou l’allemand, et ceux des pays anglophones ou germanophones le français ou l’italien.
Les propositions pour intervenir en qualité de répondant
Les étudiants ayant participé deux fois ou plus aux Écoles antérieures ne peuvent poser leur candidature qu’en qualité de répondant. Nous encourageons de cette façon les jeunes chercheuses et chercheurs, post-doctorants et doctorants dont les recherches sont déjà avancées à participer à l’École en répondant aux interventions et en animant la discussion.
Tout candidat souhaitant participer à cette École en qualité de répondant est prié de faire parvenir aux organisateurs (edp2018parisnanterre@gmail.com), avant le 16 février 2018, un CV et un court texte de motivation. La candidate ou le candidat doit également faire valoir la pertinence de ses recherches eu égard au thème choisi. Le texte de motivation ne devra pas dépasser 1800 signes ou 300 mots et pourra être rédigé en allemand, anglais, français ou italien. La candidature doit être soumise en format Word, et doit comporter le nom de la candidate ou du candidat, ses adresses (électronique et postale), l’établissement et le pays dont elle ou il dépend. La proposition et le CV doivent être joints en un seul document dans un courriel (nom de fichier : Proposition_Prénom_Nom abrégé de l’institution, exemple : Proposition_Rosa_Luxemburg_Uni-Frankfurt). La ligne « sujet » doit préciser le nom de la candidate ou du candidat et le pays dans lequel elle ou il est inscrit.
Les propositions de communication des professeurs
Comme chaque année, les professeures et professeurs du Réseau international pourront soit proposer une communication, soit encadrer une séance en qualité de présidente ou président, de répondante ou de répondant. Les enseignantes et enseignants souhaitant intervenir dans le programme sont priés de faire connaître leurs intentions au Comité organisateur par courriel à l’adresse suivante, avant le 16 février 2018 : (edp2018parisnanterre@gmail.com).
Correspondants nationaux
Pour le Canada : Johanne Lamoureux (Montréal). Pour les États-Unis : Todd Porterfield New York University), Bronwen Wilson (UCLA) et Henri Zerner (Harvard University) ; pour la France : Frédérique Desbuissons (Université de Reims), Elitza Dulguerova (Paris, INHA), Béatrice Joyeux-Prunel (École normale supérieure de Paris), Anne Lafont (EHESS), Christian Joschke et Ségolène Le Men (Université Paris Nanterre) ; pour l’Allemagne : Thomas Kirchner (Paris, Deutsches Forum für Kunstgeschichte), Michael F. Zimmermann (Katholische Universität Eichstätt-Ingolstadt) et Iris Lauterbach (Munich, Zentralinstitut für Kunstgeschichte) ; pour l’Italie : Marco Collareta (Università degli Studi di Pisa) et Maria Grazia Messina (Università degli Studi di Firenze) ; pour la Suisse : Jan Blanc (Université de Genève) ; pour le Japon, Atsushi Miura (Université de Tokyo) et Noriko Yoshida (Université Chuo).
Comité d’organisation
Université Paris Nanterre, HAR EA 4414
Christian Joschke et Émilie Malouvier
Mail : edp2018parisnanterre@gmail.com
Organisé par
Réseau international de formation à la recherche en histoire de l’art
– The International Consortium of Art History (http://www.proartibus.net) et l’université Paris Nanterre.
Photo de Kadir Celep sur Unsplash
[FUPN – Alumni] IA, nouvelles technologies, automatisation… Quelles incidences sur l’activité humaine ? (conférence)
Organisateur
-
Fondation Université Paris Nanterre
Heure locale
- Fuseau horaire : America/New_York
- Date : 30 Jan 2019
- Heure : 8h00 - 10h30
Lieu
- BNP PARIBAS CARDIF
- 8 rue du Port 92000 Nanterre
Troisième journée organisée dans le cadre du cycle de conférences de BNP Paribas Cardif et de la Fondation de l’Université Paris Nanterre intitulé « Devenir du travail : visions transversales des changements et des représentations ».
« IA : menace ou solution ? »
par Philippe Askenazy, directeur de recherche au CNRS, chercheur à l’École d’Économie de Paris.
« IA et travail : de nouveaux enjeux pour les organisations et l’activité humaine ? »
par Moustafa Zouinar, chercheur en ergonomie dans le département SENSE des Orange labs.
« Déploiement des technologies digitales en contexte professionnel : un enjeu de qualité de vie, au et en-dehors du travail »
par Émilie Vayre, enseignante à l’Université Paris Nanterre en psychologie du travail et des organisations.
Certains ont déjà participé aux deux journées précédentes, d’autres vont rejoindre ce cycle de conférences, organisé sous l’égide de BNP Paribas Cardif et de la Fondation de l’Université Paris Nanterre, par Arnaud Gaudin de Lagrange, Sophie Prunier Poulmaire et Marie-Laure Rigal.
La Fondation de l’Université Paris Nanterre est heureuse de contribuer aux stimulantes réflexions que ces rencontres, organisées autour de son portail thématique « Travail de demain, Innovation et Entreprises du futur » permettent de susciter.
La mission de la Fondation consiste à soutenir les programmes de formation et de recherche de l’Université Paris Nanterre. La Fondation contribue notamment à faciliter l’ouverture de l’Université vers le monde des entreprises en mettant en évidence ses valeurs de créativité, d’ouverture internationale et de solidarité.
Réponse (et renseignements) : arnaud.gaudindelagrange@bnpparibas.com et dominique.lin@parisnanterre.fr.
Merci de mentionner votre immatriculation pour pouvoir accéder au parking.
ACCES EN STREAMING : URL à demander à arnaud.gaudindelagrange@bnpparibas.com.
Organisateur
-
Fondation Université Paris Nanterre
Heure locale
- Fuseau horaire : America/New_York
- Date : 16 Mar 2019 - 14 Juin 2019
Lieu
- Grilles du Jardin du Luxembourg
- Rue Médicis – 75006 Paris
Une exposition proposée par l’Association Lumières sur le Travail et les étudiants du Master professionnel de Psychologie du Travail et Ergonomie de l’Université Paris Nanterre à l’occasion du centenaire de l’Organisation Internationale du Travail.
ÊtreS au Travail : Voir autrement … pour comprendre pleinement
Cette exposition est parrainée par l’Organisation Internationale du Travail à l’occasion de son centenaire. Elle est mise en œuvre par l’association « Lumières sur le Travail » présidée par Sophie Prunier-Poulmaire, vice-présidente de l’Université Paris Nanterre et 42 étudiants du Master 2 de Psychologie du Travail et Ergonomie qu’elle dirige.
80 photographies de l’agence Magnum et de photographes indépendants
Ces photographies présentent des hommes et des femmes dans l’exercice quotidien de leur métier, dévoilent la beauté du travail avec ses richesses et ses difficultés, montrent l’engagement tout entier des «ÊtreS» dans leur activité professionnelle, offrent un reflet du monde du travail et de son évolution. Œuvres de photographes de l’agence Magnum Photos – Raymond DEPARDON, Ian BERRY, Peter MARLOW, Martin PARR, Steve McCURRY, Marc RIBOUD, Chris STEELE-PERKINS, Paolo PELLEGRIN, Carl DE KEYSER, Jean GAUMY… – et de photographes indépendants – Jean-Michel TURPIN, José LOZANO – cette exposition est un hommage à tous les travailleurs anonymes dont l’image ici dévoilée traduit le vécu, souvent méconnu, de millions d’hommes et de femmes.
80 regards de l’Homme au travail commentés par des experts en sciences humaines et sociales
Par-delà les clichés, c’est là où nous emmènent les experts des sciences humaines et sociales en cherchant, par leurs écrits, à rendre manifeste ce qui ne l’est pas, tangible ce qui est caché. Affairés à dévoiler l’invisible, ils scrutent le réel par-delà le prescrit, font émerger du sens là où il n’est jamais donné d’emblée. Comme les photographes, ils témoignent du monde, l’analysent, l’interprètent et contribuent à améliorer le monde du travail. Avec les contributions de : Philippe ASKENAZY, Yves CLOT, Pierre-Michel MENGER, Danièle LINHART, Alain SUPIOT, Antoine LYON-CAEN, Dominique MÉDA, Thomas COUTROT, François VATIN, Serge VOLKOFF, Loup WOLFF, Yves SCHWARTZ, François DANIELLOU, Isabelle DAUGAREILH, Hélène STEVENS, Jean-Claude JAVILLIER, Yves STRUILLOU…
L’Association Lumières sur le Travail
Le projet est présenté par l’Association Lumières sur le Travail qui s’emploie à faire converger les points de vue artistiques, culturels et scientifiques pour sensibiliser un large public aux nouveaux enjeux posés par le travail en ce début du 21e siècle. Elle souhaite contribuer à redonner au travail sa valeur, à démocratiser les débats qui l’entourent, offrant aux acteurs du monde du travail, du monde culturel et du monde scientifique un espace de rencontres unique, propice à l’échange et à la réflexion. Cette association réunit des universitaires, des praticiens dans le champ des sciences humaines et sociales et les étudiants du Master 2 de Psychologie du Travail et d’Ergonomie de l’Université de Paris Nanterre.
Organisateur
-
Fondation Université Paris Nanterre
Heure locale
- Fuseau horaire : America/New_York
- Date : 02 Avr 2019
- Heure : 7h30 - 11h30
Lieu
- BNP PARIBAS CARDIF
- 8 rue du Port 92000 Nanterre
Quatrième journée organisée dans le cadre du cycle de conférences de BNP Paribas Cardif et de la Fondation Université Paris Nanterre intitulé « Devenir du travail »
« Comment transformer un handicap en une force ? »
par Arnaud Assoumani, champion paralympique.
« Handicap au travail : maintenir, soutenir, construire ? »
par Gaëtan Bourmaud, Professeur associé en ergonomie à l’Université Paris Lumières et Ergonome consultant chez AXErgonomie.
« Croiser les regards, mixer les approches : retours d’expériences de BNP Paribas Cardif et de l’Université Paris Nanterre »
par Stéphanie Tarin, Responsable de Mission Handicap chez BNP Paribas Cardif et Mahmoud Kekouche, Responsable du Pôle handicaps et accessibilité à l’Université Paris Nanterre.
« Du handicap à la situation de handicap ? »
par Éric Liehrmann, Responsable du pôle Approche Globale des Situations de Travail (AGST) – Département Expertise et Conseil Technique (ECT) – INRS.
Certains ont déjà participé aux deux journées précédentes, d’autres vont rejoindre ce cycle de conférences, organisé sous l’égide de BNP Paribas Cardif et de la Fondation de l’Université Paris Nanterre, par Arnaud Gaudin de Lagrange, Sophie Prunier Poulmaire et Marie-Laure Rigal.
La FondationUniversité Paris Nanterre est heureuse de contribuer aux stimulantes réflexions que ces rencontres, organisées autour de son portail thématique « Travail de demain, Innovation et Entreprises du futur » permettent de susciter.
La mission de la Fondation consiste à soutenir les programmes de formation et de recherche de l’Université Paris Nanterre. La Fondation contribue notamment à faciliter l’ouverture de l’Université vers le monde des entreprises en mettant en évidence ses valeurs de créativité, d’ouverture internationale et de solidarité.
Réponse (et renseignements) : arnaud.gaudindelagrange@bnpparibas.com et dominique.lin@parisnanterre.fr.
Merci de mentionner votre immatriculation pour pouvoir accéder au parking.